Retour sur l'événement exceptionnel avec Milo Manara

Ce dimanche 24 septembre, l'auteur italien Milo Manara était présent à l'Abbaye Royale de l'Epau pour présenter sa nouvelle bande dessinée "Le Nom de la Rose" consacrée à l'adaptation du célèbre roman d'Umberto Eco. 

Milo Manara était en Sarthe ce dimanche après-midi, pour présenter son nouvel ouvrage. Cet événement exceptionnel et inédit avait lieu à l'Abbaye Royale de l'Epau, en partenariat avec le Conseil départemental de la Sarthe, la Librairie Bulle!, les éditions Glénat et France Inter. 

La 23ème rencontre "BD à l'Épau"

La 23ème rencontre "BD à l'Épau" s'est tenue ce dimanche 24 septembre. Milo Manara, était l'invité de ce festival pour présenter sa nouvelle bande-dessinée. Véronique Rivron, présidente de la Commission chargée de la Culture représentant Dominique Le Méner, Président du Conseil départemental de la Sarthe, a introduit l'après-midi. 

Quelques instants avant le début de la conférence animée par Laetitia Gayet, journaliste à France Inter, le public a pu écouter un récital de Charlaine Epinal, harpiste. Samuel Chauveau, patron de la Librairie Bulle ! a pris la parole pour introduire cette rencontre. L'auteur italien Milo Manara a pu échanger avec le public composé de près de 400 personnes. Une séance de signatures et dédicaces a eu lieu juste après.

Milo Manara succède aux grands noms de la bande dessinée qui ont été accueillis au sein de l’Abbaye Royale de l’Épau depuis une vingtaine d’années et qui permettent à l’abbaye d’être reconnue aujourd’hui comme un lieu d’accueil privilégié de la création artistique et littéraire.

"Le Nom de la Rose" - Milo Manara

En l'an 1327, dans une abbaye bénédictine du nord de l'Italie, plusieurs moines sont retrouvés morts. Pour mettre un terme à ces inquiétantes disparitions avant l’arrivée d’une importante délégation de l’Église, le frère Guillaume de Baskerville tente de lever le voile sur ce mystère qui attise toutes les superstitions. Assisté par son jeune secrétaire Adso de Melk, il va progressivement percer à jour les troubles secrets de la congrégation, et se heurter à la ferme interdiction d’approcher la bibliothèque de l’édifice. Pourtant, Baskerville en est persuadé, quelque chose se trame entre ses murs. Et bientôt, à la demande du pape, l'inquisiteur Bernardo Gui se rend à son tour au monastère et s'immisce dans l’enquête. Les morts s’accumulent et la foi n’est d’aucun secours…

Le nom de la rose, adaptation de Milo Manara, chez Glénat. 64 p.

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