Une quinzaine d’interprètes, aux psychologies contradictoires et aux dress-codes hétérogènes, dansera sur des boucles rythmiques et sous des lumières franches afin de célébrer la puissance cathartique de la musique électronique et la jouissance collective qu’offre toute rave party.

Une soirée, deux chorégraphies :

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À l’intérieur d’un espace circulaire éclairé d’une lumière verte monochrome et sur une bande-son aussi ensorcelante que minimaliste, trois danseuses développeront une gestuelle ondoyante, hypnotique et obstinée pour suspendre le vol du temps et exaucer ainsi le vœu de Lamartine.

INTRO
Sur un plateau nu et une musique électronique en perpétuelle évolution, trois danseuses exploreront toutes les modalités de la conversation - mais une conversation qui se passe volontairement des mots pour laisser au corps seul le soin de peindre toutes ses nuances.

Une comédie sur la vie de couple et les relations Homme-Femme… cette fois ci vue par un Homme !

Savez-vous pourquoi les hommes ne peuvent-ils faire qu’une seule chose à la fois ?
Pourquoi les femmes ont-elles tant de mal à faire un créneau ?
Pourquoi les femmes pensent-elles à voix haute ?
Pourquoi les hommes veulent du sexe et les femmes du romantisme ?

Vous aurez la réponse en venant découvrir cette comédie sur les petits travers du couple avec ses situations drôles et amusantes ! …pour enfin comprendre le langage de l’autre !!!

Accompagnée par un musicien, la romancière féministe Lola Lafon vous proposera de redéfinir avec elle tout un corpus de mots afin de faire apparaître vos abécédaires intimes, de faire émerger vos lexiques intérieurs, dans une performance sémantique aussi politique que poétique.

Dans ce spectacle musical, théâtral, performatif et opératique qui lie les identités en exaltant les différences, une beat-boxeuse, deux performeuses et cinq artistes lyriques réfléchiront à la part d’intimité contenue dans votre nom avant de célébrer, en chantant, ce qu’il possède en propre.

Thriller psychologique glaçant et vertigineux, cette pièce adaptée du roman de Marguerite Duras et portée par la solaire Sandrine Bonnaire prendra la forme d’un interrogatoire rempli de silences et de mots équivoques pour déceler la dignité qui subsiste même chez les êtres relégués en enfer.

Dans ce beau documentaire biographique où se mélangent l’intime et le sociologique, l’artiste chilien Malicho Vaca Valenzuela vous commentera toutes les images qu’il a prises à Santiago durant le confinement et qui tiennent à la fois de l’album de famille et du relevé topographique.

Grâce à cette installation immersive, en cheminant le long de miniatures architecturales et en vous
laissant bercer par des récits pleins d’hélices et de biplans, vous pourrez toucher du doigt (mais
du doigt seulement, car les maquettes sont fragiles) la grande aventure de l’Aéropostale.

Thomas Croisière, notre nouveau Monsieur Cinéma, embarque ses spectateurs dans un passionnant, émouvant et hilarant « Voyage en comédie », tel le capitaine de navire dont il porte volontiers la casquette pour ses chroniques sur France Inter.

Comme une initiation au cinéma à travers ces merveilles de comédies que sont « Le Père Noël est une ordure », « La grande vadrouille », « L’aventure c’est l’aventure », « Astérix et Obélix » et même « Par où t’es rentré, on t’a vu sortir », Croisière nous entraîne pour 80 minutes de rires, de souvenirs et d’anecdotes aussi incroyables que les films qu’il évoque. Grâce à eux, nous retrouvons avec gourmandise Bébel, Louis de Funès, la troupe du Splendid,
Marie Laforêt, Coluche, Serrault, Marceau…

Partisan du « rire ensemble », ce moment vous enchantera pour peu qu’une parenthèse musicale vienne s’immiscer dans le spectacle de celui qui partage une autre passion, le karaoké, parce que « la vie, c’est plus marrant, c’est moins désespérant en chantant »… Venez rire avec vos enfants !

Véritable état des lieux d’une danse dans tous ses états, ce beau moment placé sous le signe de
l’éclectisme vous offrira deux pièces diamétralement opposées et parfaitement complémentaires :
Period piece du belge Jan Martens et Mycelium du grec Christos Papadopoulos.